Une séance érotique chez HYpnoAdmin

Combien d’€

La thune, c’est mon truc. J’aime le fric, le blé, le pèze, les économies, les sous, les ronds, les actions, les bénef…

Donc 35€, en liquide

Combien de temps

1H minimum, c’est tout ce que je garantis

Location

A Beaucaire, chez moi, dans un bureau de ma maison.

A savoir

J’ai des gros chiens et des chats. (Allergie ?)

Venir propre même s’il n’y a pas de contact physique. J’aime mon odeur rarement celles des autres.

Il y a des places juste devant chez moi, aucun problème de parking

Je ne viens chercher personne nul part quand c’est pour une séance (contrairement au week-end hypnotique)

Avant la séance

On va avoir une longue conversation, où je vais poser beaucoup de questions dont certaines très étranges. D’ailleurs je pose toujours des questions étranges même pendant la séance.

On éteins son portable et si le client à une montre, il la pose cachée. Le temps doit être le dernier des soucis. Je gère, seul, le temps.

On s’assure qu’il n’y a pas d’urgence pipi/caca

Pendant la séance

Souvent, la transition est « Bon on commence ? »

J’explique ensuite ce que je vais faire. Je commence régulièrement par une suggestion du genre « les yeux se collent » ou « les mains vont se rapprocher » Et en fonction du résultat, je continue de faire des suggestions de se genre.

Puis lorsque je pense qu’on est bien en phase, on travaille sur la/les raison(s) de la venue du client. Toujours de la même manière, je suggère, pose des questions et invite le volontaire à imaginer des trucs.

L’érotisme

Tout dépendra de la séance. Mais l’orgasme hypnotique est un incontournable. Je fais, à la demande, faire des strip-teases. Me faire renifler. Faire des rêves érotiques. Et d’autres encore.

La sexualité

Parfois, le client et moi, on baise. Mais c’était établi avant la séance. Et ce n’est ni une fin en soit, ni une obligation. Mais dans ces cas là, je suis toujours actif et sa traîne rarement.

Comment on se sent

Étrangement bizarre, bizarrement étrange. Il se passe des choses ordinaires mais qu’on n’a pas choisies, pas vraiment. Et il se passe des choses extraordinaires dont on ne s’attendait pas. On se sent concentré et étrangement imaginatif. Les codes de la réalité ne sont plus aussi important, faire au mieux semble beaucoup plus facile quand on ne s’embarrasse pas de réalisme.

On a l’impression de faire semblant sans pour autant s’empêcher de le faire. On sent qu’il se passe un truc mais souvent on ne veut pas saisir la raison et on se laisse porter. C’est comme un rêve dans le réel. On fait, c’est tout.

D’un trait 1

C’est facile d’adorer un être magnifique. Il réponds aux canons de beautés, possède une aura charismatique et sent bon le sable chaud.

Adorer le beau, c’est facile ; et inutile. Quelqu’un de beau domine déjà les autres. Il a l’habitude d’être écouté, servi et respecté. Où est l’intérêt de se soumettre à quelqu’un comme lui ? Où est l’accomplissement et la recherche dans ce cas-là ?

Un véritable chemin de soumission commence lorsque le (futur) soumis choisi son dominant sur un détail, un feeling, un instinct. Il choisit consciemment sur un critère parfois trivial. Mais pas la beauté.

Bien sûr qu’il faut qu’il plaise ! Bien évidemment ! Mais où est l’intérêt d’élever un dominant au rang de Maître dont le plaisir est au cœur de ma vie quand toute la vie lui donne déjà ce dont il a besoin grâce à sa beauté ? Aucun.

Choisissez votre dominant avec les tripes pas avec les yeux.

Dans notre société, le dominant naturel est déjà un dominant dans la vie de tous les jours. Il spolie la vie des autres soumis ou non. Vous en connaissez tous, ils sont souvent beaux ou riches ou possède un talent rare. Bien sûr, pas tous les riches ou beaux ou célèbres ne sont des dominants. Mais ceux qui le sont n’ont aucun intérêt à posséder un soumis BDSM. La vie leur en fournira toujours plus. Et le soumis BDSM ne lui servira donc à rien.

Alors qu’un dominant lambda (comme moi par exemple) a besoin d’un soumis pour être dominant, pour lui apporter ce qu’il lui manque.

Oui, nous ne sommes pas beaux ou riches. Oui nous n’avons pas la salle de jeu d’un milliardaire ou la tenue qui lui va à ravir. Oui nous avons du ventre. Non nous n’avons pas toujours une bite d’un acteur porno. Oui, nous faisons parfois des métiers de larbins.

Justement. Pensez à quel point un soumis devient utile et agréable pour des gens comme nous. A quel point, on peut se servir de vous de manière optimale.

Mieux vaut un dominant moche qui en veut plutôt qu’un dominant beau qui en a.

Tu ne l’as pas volé

Basé sur des faits réels, largement romancé, celui qui m’a raconté cette histoire se reconnaîtra.

Il cache la vérité, sans doute encore aujourd’hui.

Petit homme dans la xXxtaine, fier de ce qu’il a accompli, découvre encore le monde et cherche à vivre expériences après expériences. Dans le miroir, il se voit comme quelconque, il a passé l’âge de se trouver moche ou beau par rapport aux jugement des autres. Peut-être qu’il aimerait se débarrasser de la graisse ici et là, mais il s’en contente. Il pose un sourire sur son visage banal et fini de se raser méticuleusement. Il a un rendez-vous. Un rendez-vous fétichiste.

Oh non ! Non, il n’est pas soumis. Pas du tout, c’est uniquement pour découvrir.

Sur le papier, il va voir une connaissance qu’il respecte beaucoup. Une connaissance dont il sait son expérience dans le milieu BDSM. Beaucoup l’appel « Maître », lui l’appelle « boss » de manière sincèrement affectueuse, sans ironie ni moquerie.

« C’est un ami avant tout » C’est ce qu’il clame à qui veut l’entendre. Il se trompe. Il ne le sait juste pas encore. C’est un ami, oui, mais aussi son dominant réel. Il ne l’avoue pas, ne le dira peut-être jamais mais il voit en son « boss » une figure tutélaire et de respect qu’on ne peut donner à un ami.

Oui, il le tutoie. Oui il est familier avec son boss. Mais… Mais il ne le sent pas que comme ça. Quand dans sa douche, il pense à son boss, il le voit aussi sévère, paternel et patronal. Jouer à la console, boire un apéro et rire sans barrière ; et dans l’intense chaleur du jet d’eau, il se voit à ses pieds, heureux de voir son boss sourire.

Mais la douche n’est que temporaire, et le masque n’est même pas fissuré. Lorsqu’il sonne chez son boss, il sourit, l’embrasse et le considère et le traite comme un ami, cher certes, mais ami seulement.

Ils ont déjà joué ensemble, et rejoueront encore plus tard. C’est pourtant ce jeu-là, qu’il me raconte. Les autres sont imprécis dans sa tête, une expérience de plus. Ce jour-là, ce n’est pas une expérience, c’est un souvenir qu’il me raconte. Aussi imprécis, décousus et émotionnellement engagé que le sont tous les souvenirs majeurs.

Lorsqu’il me le raconte, il n’a même pas conscience de me raconter une chose importante. Et lorsqu’il l’a vécu, il n’avait pas l’impression de vivre un moment essentiel. Voilà pourquoi son récit commence et finit de manière banal.

« Je me suis rasé méticuleusement, je me suis habillé et je suis parti chez lui. »

Banal.

Ils se disent bonjour, discute moins d’une minute et il se laisse mettre au sol par le boss. Même s’il comprend que le boss veut qu’il lèche les baskets, il n’en fait rien. Il pose ses lèvres dessus, bouge un peu mais c’est tout.

*Je ne suis pas un soumis réel après tout* se dit-il en constatant toute fois que son sexe est rigide depuis un moment déjà.

Le boss le force à lécher et téter son sexe à travers le jogging. Ce qu’il fait avec grand plaisir malgré la texture désagréable du textile.

*J’aime la bite. C’est normal de faire ça.* Une vérité pourtant inutile à se répéter.

Deux gentilles gifles plus tard, le boss laisse sa bite à disposition. Ca ne dure pas longtemps mais il suce son boss comme un affamé. Pourtant, elle n’a rien d’exceptionnelle, il en a juste très envie.

« Déshabille toi complètement. » lance le boss en relevant son jogging.

Le jeu va devenir plus corsé, ils le savent tous les deux. Face contre une planche verticale, vissée au mur, il est attaché, saucissonné avec maîtrise. Il ne peut plus du tout bouger. On lui place une cagoule en cuir. Il a confiance mais il a peur tout de même.

Il s’attarde d’ailleurs sur cette peur.

« A ce moment-là en tout cas, je n’ai pas peur de mon ami. J’ai juste peur de mal faire, de mal réagir, de mal être. Je respire par anticipation. Je crois me souvenir qu’il joue un peu avec ma peau… »

Il est excité, mais plus sexuellement. Son sexe est au repos. Ce n’est plus sexuel, c’est émotionnel. Je sens qu’il allait dire spirituel. Je pense qu’il a bien fait de changer le mot. Il parle moins que d’habitude car son envie de bien faire le submerge.

Puis le boss le fouette.

« Au début, j’essaie de gérer la douleur, comme on me l’a appris. Je n’y arrive pas mais j’encaisse. Puis petit à petit, c’est la honte qui me submerge. La honte d’être gras, la honte d’être nul et pas expérimenté. Et pourtant, c’est à ce moment là que je pige le truc. »

Cette honte lui donne de la force. La sensation de mériter ce qui lui arrive, rend juste le fait de se faire frapper. Les coups finissent par s’arrêter. Mais il en voulait plus, il voulait être lavé de sa honte. Il n’osa rien dire. Je pense qu’il n’aurait pu rien dire. Le jeu passe à autre chose et il expérimente à nouveau.

Il subit la cire chaude, les pinces à tétons. Et ça redevient un jeu. Il classe alors cette séance avec les autres. Il a aimé oui mais sans plus. Pourtant…

Le masque fissure un peu.

Il a découvert ce qu’il aime dans la soumission mais il se le cache profondément.

[APPEL A CONTACT] Film porno

Je cherche à rentrer dans le monde du porno français en tant que prestataire. J’ai envie de développer l’érotisme de l’hypnose bien plus loin que l’underground. J’ai les capacités pour accompagner des performeurs mais je n’ai pas de lien avec ce fabuleux univers.

Voilà pourquoi je vous demande de l’aide. Si vous êtes lié de prêt ou de loin au monde de la pornographie, n’hésitez pas à prendre contact, ça m’intéresse au plus haut point.

Je cherche une production qui accepterai de pratiquer dans ses films une véritable séance d’hypnose avec tout ce que ça implique. On créerait ensemble un nouveau type de porno rarement ou même jamais vu en France. Et je serais fier de faire parti de ce projet.

A vos claviers !

Je suis à l’écoute de tous vos projets et événements à venir et serait ravi d’y participer. N’oubliez pas d’utiliser la rubrique contact ou de laisser un commentaire.