D’un trait 2

Le doute et la timidité ne sont pas l’apanage des soumis. Un dominant doute et peut-être timide aussi.

Peut-être que la grosse différence entre un soumis qui doute et un dominant qui doute, c’est que le soumis doit vivre avec alors que le dominant doit dépasser ça.

Je ne suis pas timide (pas du tout même) mais je doute beaucoup.

J’ai « dominé » quelques fois notamment pendant mes week-end dressage. Je me suis toujours demandé si je faisais bien, si je faisais ce qu’il faut, etc. De fait, j’ai l’impression de ne pas dominer réellement. Je crois que je ne me suis encore jamais laissé aller complètement.

Peut-être qu’inconsciemment je me retiens, ne me sentant pas légitime de dominer, quand bien même j’en ai très envie.

Bref, je doute d’être un dominant.

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*